vendredi 17 juin 2011

L'assimilation de L'appel de la race et Le fils de Champlain, EXAMEN FINALE

L’assimilation ce passe lorsqu’une ethnicité se retrouve par une autre qui ne partagent pas la même culture et avec le temps, l’une d’elle oublie sa tradition culturelle et religieuse à cause de l’influence de l’autre. En général, l’assimilation des Canadiens-Français vise les aspects de la langue et de la religion. Malheureusement, ceux qui incitent l’assimilation des Canadiens-Français ne l’ont pas fait par erreur; le gouvernement et le peuple anglophone, ont souvent planifié des moyens pour se débarrasser de cette culture. Mais ce n’est pas seulement le peuple anglophone qui a essayé d’assimiler la culture Candiennes-Français. Au tout début de la découverte de la Nouvelle France, les Français voulait assimiler les peuples Amérindiens. Dans les romans L’appel de la race par Lionel Groulx et Le fils de Champlain par Jean-Claude Larocque et Denis Sauvé, le thème de l’assimilation est présent et pertinent au développement du schéma narratif. Les deux œuvres traitent de l’assimilation du personnage principal ainsi que son entourage. Avec la lecture des deux livres une compréhension complexe peut s’établir pour comprendre comment et pourquoi une personne est assimilée. Au travers les personnages principaux le thème de l’assimilation est découvert.

Contexte

Lionel Groulx, l’auteur du roman L’appel de la race, est né le 13 Janvier 1878. Un nationaliste Québécois, il était aussi un prêtre Catholique. Il est éduqué en histoire et était un des premiers à étudier la confédération de Québec. Provenant d’une famille de campagne, Groulx à travailler fort dès un jeune âge pour contribuer à l’Église. Avec un amour profond pour la religion il est devenu un prêtre à un très jeune âge. Tout au long de sa vie il travaille fort pour assurer une éducation catholique française à la jeunesse. Avec les nombreux combats qui se déroulent autour de lui, Groulx fait un effort de renforcer la culture et tradition Canadienne-Française en disant que «L'histoire, gardienne des traditions vivantes ». [1] Reconnu par de nombreux groupes francophones tel que L’Action Française; il publie l’œuvre populaire L’appel de la race en 1922. C’est un roman qui analyse le peuple Canadien-Français ainsi que la vitesse avec laquelle ils se  font assimiler, ce qui leurs cause de nombreux combats incluant le Règlement XVII. Après avoir vécu une vie consacrée aux autres; il est mort le 23 mai 1967.

En l’honneur du  400e anniversaire de la présence francophone en Ontario en 2010, les écrivains Jean Claude Larocque et Denis Sauvé ce sont mis à l’oeuvre pour une collaboration historique. Leur premier roman d’une série de trois Le fils de Champlain est dirigé vers la jeunesse. Les deux auteurs sont des des Franco-ontarien de naissance ont pris les évènements historique de la découverte de l’Ontario ainsi que d’autre partie du Canada et l’ont transformé en roman.  Ce roman capture la vie avant qu’Étienne Brulé quitte la France pour la Nouvelle-France ainsi que son temps passé en Nouvelle-France. Larocque et Sauvé on réécrit l’histoire avec leurs propres histoires.       

Résumé

            Dans le roman L’appel de la Race, l’histoire est dite à travers  la voie de Jules Lantagnac. Il est un francophone qui a marié une anglophone et ensembles ils ont eu quatre enfants dont William, Virginie, Nellie et Wolfred.  Il vient de la petite ville de Vaudreuil, qu’il a quitté lors de sa jeunesse à Ottawa pour aller étudier la justice. Lors de sa graduation, il commence à fréquenter la bourgeoisie anglophone où il rencontre sa future épouse. C’est avec une visite de la ville de son enfance qu’il est conseillé par le Père Fabien, que Jules commence à démontrer les traits de sa vraie personnalité. Avec le retour à la maison, la narration du roman est divisée en deux; une narration sociale et une narration domestique. Donc ce qu’il pense et ce que la société lui encourage à penser. Du point de vue domestique Jules va essayer de franciser sa famille avec une variété de méthode aussi simple que la nourriture et les tâches de famille. Mais sa femme Maude oppose et mets fin à ses efforts. En ce qui concerne l’aspect social; Jules est nommé député pour le comté de Russel qui se trouve dans la région d’Ottawa. Il devient un des personnages important pendant le combat du Règlement XVII, qui était à la foi un conflit politique, ethnique, religieux et scolaire. Jules travail fort à résister les efforts de James Whitney qui voulait interdire l’enseignement francophone.  Malheureusement pour Jules, sa femme ne le supporte pas. Lorsqu’on lui demande de faire un discours le 11 mai dans la chambre d’assemblé sa femme lui avertit que s’il le fait, qu’elle le quittera. Encore une fois il se tourne vers le Père Fabien,et rempli d’une force inexplicable, Jules se lève et fait son discours. Comme promis, Maud le quitte et Jules se retrouve  seul avec deux de ses enfants dont Nellie et William.

            Le roman historique écrit par Jean-Claude Larocque et Denis Sauvé Le fils de Champlain traite de l’aventure d’Étienne Brulé. L’histoire débute en France lorsqu’un jeune Brulé quitte sa maison et sa mère, à la recherche de son frère qui a quitté pour la Nouvelle-France. À pied il se dirige à Honfleur où dès son arrivée il embarque sur un navire qui l’emporte jusqu’en Nouvelle France. Le navire qui l’emporte est le fameux bateau nommé le Don de Dieu où il se trouve côte à côte avec nul autre que Samuel de Champlain. Lorsqu’il est arrivé en Nouvelle France les deux aventuriers deviennent très proches et Champlain le voit comme un « fils spirituel ». Pendant les années suivantes Brulé se tient à côté de Champlain lors de batailles et plusieurs autres missions que Champlain exécute. Tellement impressionné par le jeune homme qu’il lui confie la position prestigieuse de truchement. Un truchement est quelqu’un qui vivait avec les Amérindiens et étudiait leurs langage et habitudes. Le roman est une première installation de trois qui fini lorsque Étienne quitte avec eux ainsi que  sa nouvelle blonde Amérindienne.

Compte rendu critique

            L’assimilation est une réalité qui se voi à tous les jours dans notre société. C’est une réalité qui n’est pas nouvelle pour nos ancêtres. Dans les romans L’appel de la Race et Le fils de Champlain le thème principal qui  développe l’assimilation. Les deux romans sont semblables dans le sens qu’ils traitent du thème de l’assimilation qui est développée au travers du contexte historique.  

            Le roman classique de Lionel Groulx, L’appel de la race, commence tout de suite avec le thème ainsi que le conflit de l’assimilation. Jules, le caractère principal, se trouve dans un mariage avec une anglophone. Le roman qui est contextualisé pendant les années 1912, présente le conflit du Règlement XVII : c’est l’histoire d’un homme qui est en train de perdre sa culture francophones et qui s’implique tout de suite pour mettre fin à cette loi qui est présenter par le Premier Ministre James Whitney.  Jules devient le compte de Russel puisqu’il est  choisi par élection. Passionné de combattre le Règlement XVII,  il se présente à de nombreux discours ainsi que de débats. Comme déjà mentionné auparavant le Règlement XVII était un conflit à la base scolaire, sociale, religieux et ethnique. Jules voi déjà que sa famille se fait assimiler puisque sa femme est anglophone; il réalise qu’il doit s’implique en disant que « J’ai promis à mes ancêtres de leur ramener, de leur restituer mes enfants. »[2] Comme francophone, il réalise qu’il a une obligation à son héritage pour assurer que ses enfants comprennent et apprécient la culture francophone. Le combat du Règlement XVII lui permet de se resituer au sein de sa culture mais aussi d’apprendre à ces enfants l’importance de leur culture. Il refuse de se faire assimiler à un mode de vie anglophone. Il le voit cette situation comme un insulte contre ses ancêtres et les combats qu’ils ont surmonté pour ainsi en venir à ce qu’ils ont maintenant. Lorsque sa femme lui promet de quitter s’il n’arrête pas ses nombreux effort contre le Règlement XVII, il continue son combat et se lève pour délivrer un des discours le plus important de sa vie politique. Comme promit elle le quitte. Le livre fini avec Jules seule avec deux de ses enfants. Il réalise que même s’il a perdu sa femme, il a gagné le combat contre le Règlement XVII. Le Règlement XVII qui dure quinze ans fini en 1927 et le livre fini en 1920, sept ans avant la fin de l’imposition du règlement.  Le combat du Règlement XVII est toujours présent dans les cœurs des Canadiens-Français qui ne sera jamais oublié.

            Le premier livre d’une trilogie à la foi littéraire et historique : Le fils de Champlain; introduit un jeune Étienne Brulé. Avec le début de son aventure en France, Champlain quitte la vie de campagne à la recherche de son frère. Ce n’est pas long avant qu’il embarque sur le fameux Don de Dieu. Le bateau qui a emporté Samuel Champlain en Nouvelle-France. Arrivé en Nouvelle-France il est bientôt un des préférés de Champlain. Il l’accompagne pendant de nombreuses expéditions ainsi que batailles. Champlain décide donc de lui donner le rôle de truchement. Il devait s’intégré dans la communauté un peur à la manière d’anthropologue. Ceci était utilisé pour  mieux les conditionner car il connaissait les bases de leurs croyances donc les Français pouvaient les conditionner plus efficacement. Le roman se termine lorsque Brulé  part avec une tribu pour commencer son rôle comme truchement.

            L’assimilation qui se développe dans les romans L’appel de la race et Le fils de Champlain est à base historique. Les deux histoires ouvrent les portes au lecteur quant à l’histoire Canadienne Française. Aujourd’hui, l’assimilation se fait par les médias et autres formes d’intrusions mais les résultats ne changent pas.

Critique Interne

            Le thème de l’assimilation dans les romans L’appel de la race et Les fils de Champlain représente deux trajets historiques dans l’histoire Canadienne Française. Les auteurs de ces deux œuvres présente les combats historique que les ancêtres Canadiens ont du passé à travers d’une manière personnelle. En désignant des personnages fictifs,  le lecteur peu plus facilement apprécier et comprendre le contexte du roman. Ce n’est plus qu’un document historique mais une démonstration de l’impact de nombreux combats sur un individu. Le roman L’appel de la race, Jules et sa famille démontrent l’impact ainsi que les conséquences que le Règlement XVII avait sur les familles Canadiens-Français. Son mariage est détruit à cause du combat par lequel il doit passer. En utilisant un vocabulaire familier, le message devient plus intime pour le lecteur et le message est mieux délivrer. Même si Groulx ne donne pas une solution pour l’assimilation, il démontre les dangers et les conséquences qu’elle implique. Mais s’il y a une solution qui est démontré dans le livre, c’est Jules qui le démontre : pour arrêter l’assimilation il faut connaitre notre histoire, l’apprécié et se défendre pour notre héritage.

            L’assimilation présenté dans le roman Le fils de Champlain est faite de façon directe et ainsi qu’indirecte. Ce livre qui explique la vie d’un icone historique pour le Canada  est surtout dirigé vers une plus jeune génération. Avec un veau de langage plutôt simple l’histoire est facile à suivre. Le trajet et les coutumes de l’époque sont présentés sous forme très simple pour assurer une meilleure compréhension. Les auteurs rendent un aspect de l’histoire qui pourrait sembler plus médiocre avec des éléments plus intriguant en exagérant certains aspects. Par exemple le livre contient des éléments de romantisme qui étaient sans doute présents dans la vie de Brulé mais dans le roman elles sont plus personnelles et spécifiques. Donc, le lecteur se situe plus facilement dans le roman et son entourage.   

            Les deux romans ont un style différent mais ils parlent du même thème. L’assimilation et son message ont une pertinence à la communauté canadienne et française.

Critique externe

            Les deux livres étudiés dont L’appel de la race et Les fils de Champlain démontrent des aspects important du Canada. Certains des évènements marquant pour le pays aident au déroulement des romans. L’histoire du Canada si présent dans les deux romans a surtout contribué aux histoires.

            Le Règlement XVII qui est présent dans L’appel de la race était un conflit scolaire, ethnique politique et social. Avec la loi instaurée en 1912, seules les écoles publiques et séparées sont reconnues par le gouvernement de James Whitney. Tout enseignant avait une obligation de signer un serment promettant de suivre les règles établies par le gouvernement. Si pour une raison quel conque  ils ne suivaient pas les consignes, la conséquence était la perte de leur certificat d’enseignement et de leur subventions. Pendant la première année de la loi, la province était agitée surtout avec le refus d’Ottawa d’appliquer la loi. Certains vont essayer de créer un troisième système scolaire mais ne réussirons pas.            

« Le « Ottawa Seperate School Committe » demanda alors justice au gouvernement provincial, insistant sur le droits des parents à décider de l’éducation  de leurs enfants. Mais Toronto pouvait difficilement, par la division de la commission scolaire française alors même qu’il prétendait que les écoles française n’existaient pas. »[3]

Un an plus tard, le gouvernement va publier une nouvelle version de la loi. Ils voulaient impliquer l’introduction de la langue anglaise aux écoles française. Encore une fois Ottawa va refuser et avec un recensement, il est évident que la majorité des écoles sont soumis au Règlement XVII. Frustré avec l’injustice qui se présente,  l’ACFEO (Association Canadienne Français d’Éducation de l’Ontario) envoie des lettres aux écoles ainsi qu’aux conseils scolaires pour leur demander de refuser cette loi. Pour la plupart des écoles, ce sera une réussite. Avec une pression continuelle, l’enseignement en français pourra se faire mais seulement lors de circonstances spéciales et seulement si le nombre le justifie.  Au début, on le permettra pour seulement une heure par jour et seulement comme matière d’étude. Malheureusement en Octobre 1913, le gouvernement enlèvera leurs subventions de 5000 dollars. Ceci sera la cause de la fermeture de plusieurs écoles et environs huit milles élèves sans salle de classe. Pendant les années qui suivent avec, l’imposition du Règlement XVII, les écoles continuent de fermer mais rien n’empêchera que certains enseignants fait qu’enseigner en français. Il y aura un total de cents quatre-vingt-dix  écoles en révolte.  En 1918, lorsque des inspecteurs désignés par le gouvernement se présentent dans les écoles  d’Ottawa, ils réaliseront qu’aucune école applique le Règlement XVII.

            La grande majorité des habitants de l’Ontario vont appuyer le gouvernement. Le 14 novembre 1912, un grand total de mille personnes se retrouve  à Ottawa pour demander la retraite du Règlement XVII. Plusieurs délégués et membres politiques s’annonceront pour ou contre la cause. Largument qui se présente à plusieurs reprises sera que ça va contre l’AANB (Acte d’Amérique du Nord Britannique).  Le 11 mars 1914, Mackell un conseiller scolaire va proposer une division scolaire en ce qui concerne la commission. Elle va interdire l’emprunt de 275 000 dollars; une somme qui allait payer la construction d’une nouvelle école et le salaire des enseignants nécessaire pour ces nouvelles institutions. Une grande controverse qui entoura le Règlements XVII est le fait qu’une copie officielle n’est jamais publiée. Les solutions suggérées face à la controverse seront d’abolir au complet le Règlement XVII ou de le mettre en vigueur. Le décès de James Whitney en septembre 1913, William Hearst qui le remplace, et continue sur la même route que Whitney. L’annonce de l’entrée en guerre pendant l’été de 1914, fait en sorte que le  Règlement XVII est mis de côté. Plusieurs s’opposeront aux efforts de guerre puisqu’il y a tellement de tension entre les Canadiens-français et Canadian-anglais. Le gouvernement Québécois viendra en aide aux Franco-ontariens en accusant le gouvernement Ontarien d’être un gouvernement assimilationnistes.  Le support du Québec se termine en 1915 et le reste du combat est mis dans les mains des Franco-ontariens.

            Avec des tensions présentes au Parlement, Le Droit va publier un syndicat d’œuvre sociale le 27 mars 1913. En 1914, la lutte deviendra une cause nationale pour les Franco-Ontariens. Naturellement, un des premiers qu’on va se tourner vers est notre « frère » les Québécois. Avec le Règlement XVII, les Irlandais et Anglais vont se rapprocher pour se battre contre  les francophones.  L’Ontario veut abolir le français et le Québec va répondre en proposant l’abolition de l’anglais dans sa province. C’est en 1915 que le Québec va déclarer de manière unanime qu’elle est contre le Règlement XVII. Plusieurs vont se plaindre car ce sont des inspecteurs anglophones qui viennent évaluer les écoles francophones et catholiques. Aussi dès le début, la présence pastorale y sera. Avec un groupe de théologistes, on va déclarer que le Règlement XVII est une philosophie moderniste que le pape venait tout juste de condamner. Avec l’imploration de cette nouvelle loi, il va avoir une guerre statique pour le plus de Catholique Irlandais ou Catholique Français dans une région. Avec la situation qui continue de s’exagérer on va même envoyer une lettre pour demander de l’aide de Rome. Mais le Vatican refusera de s’impliquer car les deux bords sont composés de groupes catholiques. L’église sera un des plus grands défenseurs pour les francophones pendant le Règlement XVII.

            Le Règlement XVII fut un des plus grand combat que les Franco-Ontariens ont jamais dû confronter. Elle a influencer l’aspect politique provincial et national. Le tout était à cause de la scolarité. Le Règlement XVII a été créé pour changer le système scolaire. Il n’a pas seulement attaqué une langue mais aussi la culture au quelle elle est rattaché, le français. Elle s’est pris contre les aspects ethniques des Canadiens-Français. Finalement, il y a l’aspect religieux. Un des plus grands supports pour le peuple français était l’Église. Sans son support, ce combat aurait été très court et les écoles catholiques de langue française ne seraient probablement pas ici aujourd’hui. Bref  le Règlement XVII  fut un des moments les plus marquants pour les Canadiens-Français de l’Ontario. Mais elle a aussi définit les générations Franco-ontariennes à venir. Dans le livre L’appel de la race, Jules est évidement touché par ce combats. C’est un combat qui lui a permis de se redécouvrir même si malheureusement il a perdu sa femme. Une perte qu’il trouvait nécessaire pour l’identification de son identité.

            Un aspect qui est légèrement abordé dans le roman Le fils de Champlain mais qui joue un grand rôle dans l’histoire Canadienne-Française est le principe de truchement. Comme déjà mentionner un truchement était un jeune homme qui était envoyé avec les diverses tribus Amérindiennes. Ils avaient le devoir d’apprendre tout ce qu’il pouvait au sujet de cette tribu. Ils apprenaient leurs langues, cultures et croyances. Avec le temps, comme un anthropologue, il s’infiltrait dans les tribus. Champlain et les Jésuites espéraient que ceci faciliterait le conditionnement ou plutôt la conversion à la vie Française.  Donc vers une vie catholique et monothéiste. Ce qu’ils ne s’attendaient pas s’était les problèmes qu’ils allaient rencontrer. Les hommes qu’ils envoyaient avaient environ 15 ans. Souvent, ces jeunes hommes envoyé au nom de la couronne était assimilé à la culture amérindienne qui vivait une vie polythéiste. C’est en effet grâce aux truchements que le principe de Métis est présent dans la tradition et le vocabulaire canadienne-française. Un Métis est un enfant de sang français et amérindien. À ce jour le monde peux se déclarer métis pour assurer d’avoir de les bons bénéfices qu’ils ont le droit de recevoir.

La littérature, l’individu et le Canada

            Les deux œuvres abordées présentent un thème qui peut parfois sembler monotone. Le thème de l’assimilation est développé dans une réalité qui est souvent négligée et oublié. Dans les deux livres, le combats de nos ancêtres est renforcé et présenté d’une façon originale et simple. Les  personnages plus réalistes aident la compréhension des évènements du passé qui ainsi sont plus faciles à appliquer au présent. Même si la matière est déjà abordée et enseignée la passion que démontre les auteurs renforcent l’importance de ces moments historiques. Comme individu, la lecture de ces deux livres renforce la fierté et l’importance d’être Franco-Ontarienne. Avec des explications détaillées du Règlement XVII et du rôle de Brulé en Nouvelle-France une identité plus concrète peut se former au sujet de notre place et de notre rôle au Canada. Nos ancêtres ont laissé un empreinte incroyable. En lisant ces deux livres c’est évident que le peuple Canadien-Français est un peuple de lutte : toujours en train de se battre pour une place au Canada et la liberté de pratiquer leur fois et leur langue.             

            Aujourd’hui surtout le Canada français est en ce moment dans une période d’équilibre. Sans  aucune idée claire de notre identité comme francophones on risque  de se faire assimiler à la culture et ethnicités qui viennent d’outre mers.  Les romans étudiés sont un rappel de notre trajet et de nos combats. Les auteurs présentent une solution si simple que parfois on n’y pense même pas. Pour vaincre l’assimilation il faut connaître notre passé et l’apprécier. En connaissant  les troubles de nos ancêtres comme société il est possible de  tirer de leurs situation et de l’appliqué à aujourd’hui. Les deux œuvres soit L’appel de la race et Le fils de Champlain présente ce que le Canada était auparavant et ce qu’elle a le pouvoir de devenir. Il faut éviter l’assimilation qu’on subit encore aujourd’hui pour connaître notre identité comme individus et comme canadiens. 

            La lecture de L’appel de la race et Le fils de Champlain a permis à une meilleure compréhension de ce qu’est l’assimilation. Avec de nombreux combats nos ancêtres on put combattre l’assimilation et solidifier leurs croyance et leur communauté. Les combats qu’ils ont subis les ont forcés à devenir plus forts.  L’assimilation peut se faire sans même qu’on le réalise. Si on n’est pas fort et confients dans notre personne l’assimilation va pouvoir se faire très facilement.  Notre rôle est d’arrêter l’assimilation et de le faire avant qu’il soit trop tard.



[2] Lionel Groulx, « L’appel de la race », Collection du Nénuphar, 1956, p.109
[3] Gaétan Gervais, « Le Règlement XVII, 1912-1927 », Revue de Nouvel-Ontario, no.18, 1996, p.150

mercredi 8 juin 2011

INTRODUCTION DU PROJET FINAL

L’assimilation est lorsqu’une ou plusieurs personnes sont entourées de personnes qui ne partagent pas la même culture et avec le temps oublie leur tradition culturelle et religieuse pour une nouvelle. En générale l’assimilation des canadiens français attrait aux aspects de la langue et de la religion. Malheureusement ceux qui renforce l’assimilation des Canadiens Français ne l’ont pas fait par coïncidence; le gouvernement et le peuple ont souvent planifié des moyens pour ce débarrasser de cette culture. Mais ce n’est pas seulement le peuple anglophone ou irlandais qui a essayé d’assimiler une culture. Au tout début de la découverte de la Nouvelle France les Français voulait assimiler les peuples Amérindiens. Dans les romans L’appel de la race par Lionel Groulx et Le fils de Champlain par Jean-Claude Larocque, le thème de l’assimilation est présent et pertinent au développement des histoires. Les deux romans traitent de l’assimilation du personnage principal ainsi que son entourage. Avec la lecture des deux livre une compréhension complexe pourra s’établir pour comprendre comment une personne est assimiler et pourquoi. A travers les personnages principaux le thème de l’assimilation pourra se faire découvrir.

mercredi 18 mai 2011

Le génocide

Parfois lorsqu’on analyse notre planète, on réalise que ce qu’ont trouvais si beau est rempli de mal et de mauvais. Une planète qu’on dit belle est détruite par la main de l’humain. Parmi ces atrocités que l’on voit ce réalisé est le génocide. Un terme utilisé si fréquemment porte une certaine pesanteur qui ne peut être soulevé. Ce mot qui est associé à tellement de choses est très spécifique en ce qu’elle concerne. Elle est associée à des circonstances très spécifiques et atroces. Selon plusieurs experts le génocide est considéré un crime contre l’humanité. Ce n’est qu’en 1945 avec la Deuxième Guerre Mondiale et les tactiques de guerre des Nazis que l’on a associé ce terme avec l’acte. Une réalité cependant pas nouvel est finalement donné un titre. L’histoire a connu plusieurs massacres qu’aujourd’hui sont entrain de ce faire évaluer pour voir si il est possible de les considérés comme génocide. Pour mieux comprendre la définition du génocide il faut évaluer les évènements du passer.


Le Génocide Arméniens

Lors du premier siècle l’empire ottoman comportait une grande majorité de chrétiens. L’empire jouait un grand rôle dans le commerce des pays entourant. Par la fin du XIXe siècle l’empire contait un total de 36 millions habitant contant 2 millions Arméniens. Les années après la Première Guerre Mondiale l’empire ottoman chute et tombe dans les mains du sultan Abdul Hamid II. Le sultan, un musulman commence son règne en établissement une haine religieuse surtout pour les chrétiens. En 1894 et 1896 le peuple arménien commence à faire des réformes et donc le sultan commande le massacre de 200, 000 à 250, 000 arméniens pour ce débarrassé des problèmes. Ceci est un avant-gout du génocide qui ce planifie.

En 1909 le nouveau groupe politique « Les Jeunes Turcs » veulent ce débarrasser des « Vieux Turcs » qui s’oppose à la modernisation de l’empire. Donc avec le nouveau sultan Mohamed V l’empire Ottoman se dirige vers le vison des Jeunes Turcs. En 1909, un autre 20,000 à 30, 000 Arméniens sont massacrés. L’empire est maintenant sous un règne nationaliste qui porte des préjugiste contre les Juifs, les Grecs et les Arméniens.

En 1914 lorsque la Première Guerre Mondiale éclate les Jeunes Turcs poussent Mohamed V de se joindre au conflit avec l’Allemagne et l’Autriche. Ils déclarent la guerre le 1er novembre 1914. La guerre n’est pas avantageuse pour l’empire car elle est envahie le 7 avril 1915 et 100, 000 soldats sont tués. Les turcs en ragé dirige leurs rage vers les Arméniens avec des attaques encore plus violentes qu’avant. Avec la guerre qui continue de s’aggraver, les jeunes turcs voie une opportunité pour éliminer totalement les Arméniens. Un des chefs turcs demande le massacre des Arméniens de l’armé et d’Istanbul. Les massacres continues et s’étend sur sept provinces. Un télégraphe confirme l’implication du gouvernement «Le gouvernement a décidé de détruire tous les Arméniens résidant en Turquie. Il faut mettre fin à leur existence, aussi criminelles que soient les mesures à prendre. Il ne faut tenir compte ni de l'âge, ni du sexe. Les scrupules de conscience n'ont pas leur place ici».

D’une manière très organiser il commence avec les hommes âgé de moins de 20 ans et plus âgé de 45 car les autres hommes se retrouve dans l’armé comme troupe de choc. Les villes sont ensuite visiter un par un et tout Arméniens sont massacré ou prit comme esclaves. Les femmes sont traitées comme pute et sont violer par les hommes régulièrement. Après que tous les villages sont vidés; les survivant sont apporté dans le dessert. Les soldats les privent de toutes sources et les batte fréquemment. Ceux qui ne sont pas mort pendant la longue marche dans le dessert sont ensuite lancés d’une montagne et tué.

Le génocide Arméniens est fini le 16 mars 1921 à Berlin. À ce jour on continue de compté le taux de mortalité; mais en ce moment on estime qu’il y a 1,2 millions de mort. Le génocide Arméniens a été considéré comme un génocide il y a quelque an. Ce n’est que depuis 2006 qu’on découvre de plus en plus les atrocités que les Arméniens on subit.

L’Holocauste

Le génocide considéré comme le plus dégoutant est souvent connu comme l’Holocauste. Cependant il faut clarifier que l’Holocauste est le massacre des noir, homosexuel, handicapé, juifs etc.… Le génocide des juifs par le nazi est la Shoah et elle concentre seulement sur le peuple juif. Le mot Holocauste vient d’origine grecque qui veut dire sacrifice par feu. Lorsque le groupe nazi est venu au pouvoir en Janvier 1933 une version moderne du pangermanisme est revenue. Le pangermanisme de l’époque était pour clarifier que les Allemagne étaient inférieures aux autres. Un nationalisme extrême était pèsent dans le peuple Allemagne. Avec ce nouveau nationalisme dirigé par le sultan Adolf Hitler des préjugiste contre autre groupe politique, ethnique et spirituel ce sont fait.

En 1935, les Allemands ont commencé avec « La solution finale » et ont tué deux de trois juifs en Europe. Même si les juifs étaient les victimes primaires du racisme Nazi, les massacres de autre victime était aussi inquiétant. Avec la construction des camps de concentration et d’extermination les taux de mortalité ont continué d’augmenter. Avec des inventions comme les chambre de gaz le groupe Nazi pouvait ce débarrasser de plusieurs « impure » dans une journée. Des milliers de personnes ont été pris de leurs maisons et mit sur des trains chaque jours. Ces trains remplis de personne que souvent il y en avait qui mourrait en chemin leur apportait à des camps. Les victimes croyait souvent que si il travaillait fort leurs vit pouvait être sauvé mais aucune alliance pouvait ce faire avec les soldant nazi.

Les réalités de l’Holocauste sont probablement une des plus connu dans le monde. Avec de nombreux documents, film et photographe on peut facilement imaginer la brutalité de cette période. Avec des moyens dégoutant de torture les victimes sont souvent sympathiser avec et toujours les premier qu’ont pensent de lorsqu’on parle du génocide. Avec un totale de 6.2 millions de juifs massacré et 11 millions d’autre ethnicité et croyance politique massacré. L’holocauste est en principe la raison pour quoi ont à voulu donné un nom aux tactique de guerre nazi.

Le génocide est malheureusement une réalité qui semble ce répété. Avec une définition qui change toujours, la seule chose qui reste certains; est que le génocide est le massacre contre un groupe ethnique, religieux ou politique. On ne peut compter le nombre de victimes des génocides qui se sont déjà fait et qui se passe en ce moment. La seule chose qu’on peut faire est de continuer de se battre contre cette réalité et contre ceux qui veulent créer cette réalité. Car les réalités du génocide et Arméniens et de l’Holocauste ne peux pas ce répété.

jeudi 7 avril 2011

Analyse du texte « Le Horla » par Guy de Maupassant

Le texte de Guy de Maupassant “Le Horla”, élabore les causes, les effets et les conséquences du mystère de l’invisible. Le thème du mystère de l’invisible est expliqué comme étant ce que nous ne pouvons pas voire mais ce qu’on  réalisent est présent. L’auteur est très descriptif dans les images qu’il peinture lorsqu’il traite de ce mystère. Ce texte écrit en forme de journal intime permet le lecteur d’avoir une idée plus approfondi en ce qui concerne les pensées du narrateur. Comme déjà mentionner Guy de Maupassant explique trois phase que le mystère de l’invisible à sur l’homme. Il y a d’abord les causes, les effets et les conséquences qui remportent.
Au début du texte l’auteur décrit son pays et ce qu’il aime de sa terre. Il parle de la nature, de son gouvernement. Indiquant aux lecteurs qu’il se retrouve en France. Ce n’est que quelque jours plus tard lorsque le narrateur commence à écrire encore que les choses changes. Il annonce qu’il a une fièvre. C’est à ce moment que le mystère de l’invisible entre en jeux. Pour des raisons qu’il ne semble pas capable d’expliquer, tout joie qu’il avait est effacé. Il reconnait qu’il ne peut pas expliquer ce qu’il ressent mais essaye en utilisant des métaphores très descriptives. Même après avoir visité le médecin qui atteste que il n’y a aucune raison pour s’inquiété; il est convaincu d’être malade. Avec un peu d’espoir; il quitte pour un voyage voulant se remettre. Malheureusement il est rempli d’ennui.

L’ennui peut être source de plusieurs diverses circonstances. Quel que choses de si simple peut être très dangereuse pour une personne. Elle peut porter des idées inconcevables qui enracinent des idées horribles. Avec son ennui le mystère de l’invisible continue à se développer. Il est convaincu que il y a quel qu’un qui désire lui porter du mal. Des idées de puissance surnaturel lui envahi. Captivant tout son esprit il ne peut concentrer que sur il croit lui chasser. Il devient obséder avec cette esprit. Pousser à le détruire et de se débarrasser de cette présence surnaturel il commence à mettre en action ces idées. Il fait tout ce qu’il peut pour le capturer, empoisonner ou même prouver qu’il existe. Cependant rien ne semble fonctionner; tout tombe à l’eau. Finalement il à l’idée de brûler sa maison avec l’esprit encore dans le meuble.

Même après avoir mis en feu sa maison il n’est pas convaincu que ce qui lui détruit est mort. Malheureusement cette escapade lui à couter les travailleurs car il les a oublié dans la maison. Désespérer par ce qui lui envahi il ne croit plus rien faire. Ce mystère lui rend fous et sans aucune doute dangereux pour le monde qui lui entoure. Cependant il semble pouvoir rien faire ou justifié en ce qui concerne ce mystère de l’invisible. Gracieusement il réalise que la seule façon de ce débarrassé de ce démon est de s’éliminer du produit. Et donc le texte fini avec la citation suivante. « Non…non…sans aucune doute, sans aucune doute… il n’est pas mort…Alors…alors… il va donc falloir que je me tue, moi !... »

L’auteur traite du mystère de l’invisible comme étant quel que choses hors de notre contrôle. Ce n’est qu’à la toute fin que le lecteur réalise que ce démon non désire est en lui. Que le narrateur pourrait être considéré comme schizophrénie. Il décrit ce qui a causé ceci, donc l’ennui. Ainsi que les nombreux effets qu’elle apporte et finalement les conséquences qui se présente simplement avec le principe de la mort. On peut donc saisir que le mystère de l’invisible est tout ce que nous ne comprenons pas de mêmes ou ce que nous ne savons pas; selon l’auteur Guy de Maupassant.

lundi 28 mars 2011

Texte Descriptif: Le Rauyome Trouvé...

Le royaume trouvé


Ça fait plusieurs tombé de rayons jaune et levé de lumière bleu que j’attends ce jour. Que j’anticipe la venue de ce soleil qui rayonne avec une lumière abondante. Le soleil se lève qui lentement indique l’écoulement de temps. Mais ça fait longtemps depuis j’ai quitté ce monde de fantaisie que plusieurs visites encore. Mes grands yeux bruns analysent les murs peinturés de ligne fine. Comment contenir ma joie. Comment ce levé quand mon corps est remplis de sentiments si fort que mes jointure tremble. Ma face s’illumine avec l’étirement de mes lèvres qui rassemble à un sourire. Ce pays étranger m’entoure. Pourtant je me sens chez moi dans ce pays d’Océanie.

Il est encore le début de la matinée mais il me semble comme une éternité depuis je me suis levé. Le soleil me frappe sur le dos avec une chaleur exagéré. Je marche sur cette route pointiez jaune vers une destination qui est encore inconnu à mon esprit. Comment savoir la destination quand elle est différente pour chaque personne qui m’entoure. Aucune connaissance des défauts de la société n’est présente dans mes pensées. Seule la vérité du bonheur est avec moi. Donc je continue de marcher, avec chaque pas que je prends mon cœur saute. Une sensation magnifique pompe à travers les cordes bleues de mon corps. J’examine le monde qui m’entoure qui marche avec moi.

Après cette marche je suis finalement arrivé. Je suis arrivé, mais quoi faire. Mes yeux observent mon entourage. Tout le monde est en train de s’installer pour la nuit qui arrive bientôt. Mais je suis paralysé. Je ne peux pas bouger. Des mois de préparation pour cette cérémonie ma pas préparer pour ceci. Pour ce que je récent pour ce que je voie. J’ai l’impression de courir, de volé, de sauté cependant je ne bouge pas. Comment expliquer en mots ce qui captive mon corps. La finale heure de lumière touche l’horizon. Je regarde les rayons d’or disparaitre. Je me trouve dans la noirceur. Seule la teinte bleue qui provient de la lune et les milliers de bougie illumine mon entourage. J’écoute. J’écoute pour un signe pour indiquer que ce que je ressens est normal, naturel ou humain. Une voix douce dans la foule provient. Elle chante avec passion pour un homme. Le même homme qui se retrouve dans mon cœur. C’est tu possible qu’elle comprend cette sensation. Durant la mélodie plusieurs autre voix angélique s’ajoutent. Ils chantent la même mélodie mais avec une langue différente.

Je laisse ma tête tombé pour penser. Je regarde à mes pieds cherchant pour l’énergie à joindre la mélodie. Ou est ce sentiment que j’ai senti il y a pas longtemps. Est-il parti avec le soleil. Comme un éclaire une lumière me parvient. Mes yeux se lève pour voir la source de cette illumination. Je le voie. L’homme que les anges chantes de. Il est devant moi le créateur, le sauveur et le rédempteur. Je lui regarde. Aucun mot ne sort de ma bouche. Quoi dire? Quoi dire à l’homme qui connait tous les mots? Qui me connaissaient avant même ma venue sur cette terre. Je lui regarde et il me regarde. Avec grâce et sagesse il ouvre ces bras. Je voie maintenant. Je voie les troue qui lui ont percé mais qui mon sauvé. Mon visage est enveloppé par les gouttes d’eau qui tombe de mes yeux. Il me donne la main. Encore une fois je suis paralysé. Je ne peux pas bouger. Je lui regarde. Il porte  une couronne de torture sur son front. Il la porte avec un sourire. Une couronne qu’il à porter pour moi. Sur ces épaules une chemise blanche qui tombe jusqu’à terre. Ces mains encore ouvert vers mois, sa lumière devient encore plus lumineuse. Elle m’enveloppe et caresse mon corps avec délicatesse. Tout sentiment d’hésitation est effacé de mon esprit. Elle est remplie de chaleur, d’amour et d’appartenance. Je luis souris. Je prends sa main. Avec confiance je me joins aux anges qui chantent. Je chante la mélodie que plusieurs connait. J’ai finalement trouvé mon royaume…

lundi 21 février 2011

commentaire littéraire

Les lois sur le tabagisme; une appercue critique
Dans le texte de Mario Daigle, on atteste que le droit à la santé est un juste droit pour restreindre le droit à une juste jouissance sûr l’usage du tabac. Au contraire de ce que dit l’auteur, je suis en parfait accord avec les lois d’interdictions sur l’usage de tabac dans les lieux publics. L’auteur exagère l’interdiction de ces droits. Pourrait-on attester que dans une société démocratique, les lois sur le tabac sont trop sévères? Il faudrait bien sûr évaluer les divers droits sur le tabac ainsi que les droits de santé dans la société.


Alors, plusieurs personnes, surtout les fumeurs, croient que les lois sur le tabac posent trop de limites. Privés à fumer sur le coin de la rue, plusieurs se portent contre les lois qui continuent de s’ajouter. Pour ajouter, les lois imposent d’autres restrictions sur les fumeurs telles que l’interdiction de fumer dans la maison avec un mineur présent, dans la voiture propre aux fumeurs ainsi que dans des endroits publics.

De plus, les lois sur l’usage du tabac semblent impossibles; je crois qu’elles sont justes dans l’exécution. On demande aux fumeurs de prendre des précautions et de penser aux autres qui les entourent. Les risques de santé sont presque non-existants pour ceux qui sont associés aux fumeurs. Donc même si ceux qui achètent les produits de tabacs sont limités en ce qui concerne ou ils peuvent s’indulger dans leurs besoins mortelles; les avantages pour le monde qui les entourent sont mieux. Plusieurs vont attester que les lois sur le tabac ne permettent pas aux fumeurs de vraiment être libres dans leurs décisions. Je crois que ces lois instaurées permettent à tout le monde de vivre paisiblement ensemble.

Finalement, il est approprié à dire que les lois sur le tabac ne sont pas trop sévères selon ma perspective. Les démarches prisent lors de l’introduction de ces nouvelles lois ont permis aux fumeurs de s’ajuster à la nouvelle réforme que la société a introduit. Ce qui est parfois apparcue comme limitant pour les fumeurs peut être libérant pour les non-fumeurs. Elle est parfois aperçue comme limitante pour les fumeurs et libérante pour les non-fumeurs. Ce n’est plus une décision qui impacte toute la société lorsque quelqu’un décide d’allumer une cigarette. Il faudrait donc dire que ces lois qui insistent les fumeurs de ce diriger aux coins de la rue sont pas trop sévères. Ces lois permettent aux autres de prendre leurs propres décisions.

Pour conclure, je crois que les lois instaurées depuis 2002, ne sont pas assez sévères. Le gouvernement devrait ajouter plus de lois qui limitent l’option de fumer. Je crois que, comme la marijuana; le tabac devrait être une substance illégale. Elle empêche la santé de plusieurs ainsi elle est une substance dangereuse si elle n’est pas contrôlée. Il est donc temps de réviser ces lois et de changer la façon que l’on perçoit les produits de tabac.